L'humanité a besoin d'une révolution, de changements visant les causes structurelles des inégalités sociales, des dévastations écologiques, d'une économie en perdition dominée par la finance, du sens de la vie. L'auteur montre que cette révolution ne peut être menée "au nom de Dieu", ni au nom de la Nation, et encore moins au nom de l'argent.
Le rendez-vous est désormais pris avec la solidarité mondiale et non plus nationale ou continentale. Tel est le défi d'une citoyenneté civile, sociale et économique, à redéfinir aujourd'hui. A cette fin, l'auteur préconise d'abandonner le système de valeurs imposé par l'économie de marché mondialisée et aboutit à des conclusions bien différentes de celles de la Banque mondiale.